Notre date
DE NAISSANCE
4 octobre 2016
comme Julien Clerc (à 69 ans près)
Notre mission
Créer de la convivialité partout
et pour tous. (Et beaucoup rire).
Notre raison d’être
Trouver ce qui va marcher pour créer du lien et de la convivialité là où les interactions ne sont pas spontanées !
Notre engagement
Reverser 15 % de nos bénéfices à des associations (c’est dans nos statuts). Et toujours se creuser les méninges pour pouvoir faire des bénéfices tout en servant notre mission !
La question qui nous obsède
Comment faire pour des gens qui ne se ressemblent pas et qui ne se connaissent pas se parlent
Nos terrains de jeux
Déjà testés et éprouvés
Nos bars, les soirées d’entreprise, les teambuildings d’entreprise, les gares, les hypermarchés, les espaces publics, les salons professionnels, les files d’attente… et même le digital puisqu’on a créé un bar à succès…. entièrement virtuel !!
Nos victoires,
(nos looses)
et nos ambitions
notre équipe
Objectivement fabuleuse. Vous pourriez être jaloux si on vous montrait les photos de nos journées de travail !
Nos faits d’armes
Un chifoumi géant au ministère du travail devant 3 ministres et 3 secrétaires d’état resté dans les annales / L’ animation d’un Olympia devant 1500 personnes / Ouvrir 4 bars pendant le Covid / Être le premier bar à avoir le statut de Jeune Entreprise Innovante
Nos (grosses) looses
Inaugurer et fermer le bar de Strasbourg dans la même journée (merci le Covid) / Avoir 5 inondations en 3 mois (et on parle de vraies inondations (genre 50 cm d’eau).
Notre vision de l’avenir
Que la France soit médaille d’or de l’accueil et qu’un jour il y ait autant d’agents de convivialité que d’agents de sécurité ! (en 2024?!)
Notre fruit
La pêche… ou la banane… ou la patate (mais bon c’est pas un fruit).
Notre plus grande fierté
Un programme d’insertion professionnelle par la convivialité : la Haute École de la Convivialité ! Des jeunes en décrochage qu’on forme à devenir agents de convivialité et qu’on raccroche à un diplôme par la validation des acquis de l’expérience !
ET ON
S’ARRÊTERA
QUAND…
Les Capulet arrêteront d’en vouloir aux Montaigu (ou réciproquement).